C’est le 15 février prochain que le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada sera soumis au vote du Parlement européen. Le CETA ouvre la voie à davantage de projets contribuant au dérèglement climatique et à des inégalités, impactant les conditions de vie sur Terre. Alors que la crise du système dominant fait de plus en plus de ravages sur les populations et les écosystèmes, veut on mettre un coup d’accélérateur, foncer dans le mur… ou dessiner une autre voie ?
Ne loupons pas le bus pour stopper le CETA !
Les 14 et 15 février, le rendez-vous est donné à Strasbourg pour faire entendre notre opposition au CETA à travers une mobilisation non-violente.
Pour résister à ce traité et à ses impacts, pour défendre des alternatives écologiques et sociales nécessaires, Alternatiba et ANV-COP21 répondent à cet appel et invitent chacun.e à être présent.e.
Cette mobilisation se décline en plusieurs temps, à Strasbourg:
-> le 14 février
- à partir de 19h30, soirée festive Stop CETA au Molodoï, 19 rue du Ban-de-la-Roche
-> le 15 février
- à partir de 8h00 : accueil des euro-député.e.s devant le Parlement Européen avec Cheval de Troie et pancartes, 1 avenue du Pdt Robert Schuman
- à partir de 10h30 : manifestation européenne, rdv Place Kléber
- à partir de 11h30: rassemblement devant le Parlement européen, 1 avenue du Pdt Robert Schuman
- à 14h : assemblée publique des mouvements européens
Le collectif d’organisation a mis en place des bus pour se rendre à Strasbourg et permettre de participer cette mobilisation.
Réservez une place dans le bus
Une mobilisation d’ampleur
Depuis plusieurs mois déjà, des citoyens et des citoyennes se mobilisent à travers des actions non-violentes pour interpeller leurs élu.e.s, les eurodéputé.e.s, leurs concitoyens et concitoyennes et les médias, sur les conséquences tragiques qu’aurait l’adoption du CETA.
Pour la journée d’action européenne du 21 janvier dernier, 105 rassemblements ont eu lieu en opposition au CETA ! Des collectifs Alternatiba et ANV-COP21 se sont mobilisés dans leur territoire aux côtés d’autres groupes pour alerter sur les enjeux liés à ce traité et montrer leur opposition. Cette mobilisation s’est même multipliée au-delà du 21 janvier !
Les mobilisations citoyennes ont montré leur potentiel pour influer sur le court de l’histoire. Ne laissons pas les eurodéputés écrire seuls les pages de notre avenir sans avoir voix au chapitre : nous sommes déterminé.e.s pour faire vivre la justice sociale et préserver un climat viable sur Terre. C’est cette détermination que nous porterons à Strasbourg les 14 et 15 février prochain; la participation de chacun.e est précieuse, alors pour dire Non au CETA… on compte aussi sur vous !
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